La coalition jihadiste Nusrat al-Islam Wal Muslimin (« Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans »), dirigée par Iyad Ag Ghali a revendiqué la double attaque de vendredi qui a fait huit morts parmi les militaires et 80 blessés. Une source proche de l’enquête ouverte par le procureur du Faso évoque quant à elle un «acte commandé et payé».