Mali: BÉTISIER : MACRON RÉPOND À L’IMAM DOCKO

Pendant que les acrimonieux de la République s’activent autour d’un méga-concert le dimanche prochain en bravant l’interdiction de rassemblement à plus de 50 personnes et la maladie à Coronavirus, les petits gobies font du foutage de gueule absolu en mettant leur bouche atteinte d’halitose dans notre décision de tchatcher avec les énergumènes de jihadistes. C’est la substance de votre Bêtisier du jour.

Macron répond à l’imam Docko

‘’La France refuse toute négociation avec les djihadistes sachant bien que c’est une recommandation du Dialogue National Inclusif (DNI) regroupant les forces vives de la Nation Malienne’’. Tchiè ! Plus buté que les petits Gobies, tu meurs. Ça-là, il faut piger. Ils n’arrêteront pas tant que quelque chose n’en est pas sortie. Même si notre loi mère dit que la souveraineté appartient au peuple qui a décidé souverainement, autant lors de la Conférence d’Entente Nationale que lors du Dialogue National Inclusif, qu’il fallait tchatcher avec ces énergumènes qui sèment mort et désolation sur leur passage. Il y a aussi l’Imam DICKO qui s’était proposé pour servir de médiateur dans le dialogue avec les jihadistes.

Il a la réponse du Président des Gobies.
Et puis, il faut le dire, c’est parce que les Blédards ont bradé leur souveraineté que les petits gobies mettent leur bouche atteinte d’halitose dans cette affaire. Ils ont manufacturé la légende de colonnes jihadistes fonçant sur Bamako en 2013 et terrorisés, nous avons quémandé leur intervention d’urgence qui était en réalité en préparation depuis plusieurs années provoque le séisme un autre gobie. Nous avons laissé qu’ils mettent leur bouche dans les négociations de Ouaga jusqu’à recycler et lifter des jihadistes.
On va à Kidal pour la 42e session du CSA, ils mettent leur bouche là-dans par visioconférence. On veut dialoguer, là aussi ils mettent leur bouche dedans, l’arme la plus redoutable dont ils disposent d’ailleurs. Comme, ils sont contre qu’on tchatche et qu’ils sont d’abord de garder sur place leurs gars, donc on va se bagarrer ensemble pour sortir des épreuves rédhibitoires qui sont imposées aux Bledards. Même si on finira par jaspiner.

Ils étaient en Afghanistan pour castagner. Ils ont mordu la poussière et ont décampé, vite fait. Aujourd’hui ça cause avec les Talibans. Pourquoi ne pas commencer par le commencement pour nous épargner le casse-tête opérationnel d’une paranoïa? Vraiment, il est temps que nous sortions d’un changement de l’incantation pour un changement de la raison.