C’est par un communiqué sur son site web que le gouvernement russe a annoncé, le lundi 17 avril, que l’accès à la partie extrême orientale de son territoire serait « simplifié » pour 18 pays, dont le Maroc, l’Algérie et la Tunisie. La mesure vise à stimuler le tourisme et l’investissement dans une région peu peuplée en raison de la rudesse de son climat. Mais elle pose trois questions.