Libya,Äôs nouveaux chefs d’unité ont travaillé à resserrer leur emprise sur Tripoli jeudi la prise en charge du site Web d’une autorité rivale dans la capitale dont la tête est refusant de rester à l’écart.
Une semaine après son arrivée par la mer avec une escorte navale, le cabinet d’unité soutenue par l’ONU semble gagner le soutien des principales institutions qui contrôlent Libya,Äôs la richesse et, surtout, les milices dans la capitale.
Mais un appel en Tripoli,Äôs non reconnu le Premier ministre Khalifa Ghweil mercredi pour ses ministres de ne pas céder le pouvoir, contredisant une annonce faite plus tôt, a souligné la situation encore chaotique.
On ne sait pas quelle influence Ghweil, un ingénieur de la ville portuaire de Misrata est de Tripoli, exerce toujours dans la nation en grande partie tribal.
Libya,Äôs guerre rivaux ont fait l’objet d’intenses pressions internationales à se rallier derrière le gouvernement d’unité à un moment où le pays est aux prises avec une menace djihadiste croissante.
Le groupe Etat islamique a exploité la crise en Libye depuis le renversement du dictateur Mouammar Kadhafi il y a cinq ans, suscitant des craintes qu’il met en place une nouvelle forteresse sur Europe,Äôs porte.
Dans un signe de son influence l’élargissement, l’administration du premier ministre désigné Fayez al-Sarraj parrainé par l’ONU a repris le site Web des autorités de Tripoli non reconnus jeudi.
Le site porte désormais le logo du gouvernement d’unité, et les noms des Ghweil,Äôs armoire ont été remplacés par ceux d’un conseil présidentiel créé en vertu d’un accord de partage du pouvoir en Décembre.
Cet accord a été signé par certains législateurs des deux côtés, mais pas approuvé par les country,Äôs deux gouvernements rivaux.
L’autre administration, qui a longtemps revendiqué la légitimité internationale, car il a été nommé par le parlement élu dans les derniers sondages en 2014, a jusqu’ici refusé de soutenir le gouvernement d’unité.