Benghazi – Les législateurs des parlements rivaux de la Libye ont conclu un accord de partage du pouvoir en Tunisie, fuyant un accord égide de l’ONU visant à mettre fin au conflit.
Lors d’une conférence de presse dimanche, le représentant du gouvernement internationalement reconnu Ibrahim Amash annoncé qu’ils ont conclu un accord séparé avec le gouvernement islamiste pour éviter le “intervention étrangère” entacher l’accord parrainé par l’ONU.
L’accord des Nations unies a été rédigé par son ancien envoyé à la Libye, Bernardino Leon, qui a accepté un emploi le mois dernier par les Émirats arabes unis, qui soutient un côté du conflit, jetant le doute sur la neutralité de l’organisme international.
La Libye a glissé dans le chaos qui suit la chute 2011 et assassinat du dictateur de longue date Mouammar Kadhafi. Le pays riche en pétrole a été déchiré entre un gouvernement internationalement reconnu dans le gouvernement Extrême-Orient et islamiste soutenu dans la capitale, Tripoli.